Des nouvelles de nos Anciens qui en profitent pour s’interroger sur les atouts des options grec ou latin dans leur parcours, car on n’arrête pas de vous le dire : le latin et le grec peuvent servir…
Marwan Bousselmame, bac S en 2012, option grec :
« En ce qui me concerne, j’ai commencé les langues anciennes au collège, latin en 5e et 4e, et grec ancien de la 3e jusqu’en terminale. J’ai eu mon Bac S en 2012, et j’ai ensuite fait une année de PACES, avant de me réorienter sur une double licence Histoire / LLCE Anglais (j’ai arrêté l’Anglais en L2), j’ai obtenu ma licence d’Histoire à Caen et je suis parti à Paris pour un master de recherche, et je redouble actuellement mon M2 là-bas. Les langues anciennes m’ont évidemment été utiles pour mon cursus d’Histoire, pour la période antique tout d’abord, la connaissance des grands auteurs et de leurs textes, la familiarisation avec l’histoire grecque et latine, et donc avec tout l’aspect « civilisation » des LCA donnant d’excellentes bases pour appréhender et étudier cette période.
Pour les autres périodes historiques, c’est essentiellement le côté vocabulaire qui m’a servi, les termes « compliqués » étant de racine latine ou grecque bien visible, cela permet bien souvent de retrouver le sens d’un terme. Mais le vocabulaire m’a été le plus utile pour mon année de médecine, les termes médicaux provenant des langues anciennes, les hellénistes (et latinistes dans une moindre mesure) ont un avantage certain pour l’apprentissage de l’anatomie, et il est plutôt rassurant de comprendre les termes que l’on apprend, et pas seulement de les apprendre par coeur : le métatarse c’est le pied parce que tarsos c’est la cheville et le métacarpe la main, parce que karpos c’est le poignet !
Au-delà de leur apport certain pour la culture générale, les LCA sont donc toujours utiles, ne serait-ce que pour avoir un peu plus de vocabulaire, ce qui est toujours profitable, et surtout ne sont pas du tout une matière de « L », puisque les connaissances qu’elles apportent s’avèrent fort utiles dans le domaine médical par exemple. Et d’un point de vue plus « pragmatique », ces matières apportent un bonus au bac, ce qui est toujours bienvenu. »
Manon Roussel, bac ES en 2012, option latin :
Nicolas Fontaine, bac ES en 2014, option grec :
« J’ai étudié le latin au collège, le grec en 3ème et au lycée. J’ai eu des difficultés à retenir les déclinaisons ainsi que le vocabulaire. La partie « mythologie et culture générale » m’intéressait davantage. Pourtant au cours de mes études (DUT Techniques de Commercialisation et Licence Pro Assistant Commercial Export Trilingue), j’ai pu remarquer de nombreuses similitudes entre ces langues et le domaine du marketing. La raison est simple : il suffit d’analyser le nom des entreprises qui nous entourent et on remarque vite qu’elles sont souvent inspirées du latin ou du grec, parce que ce sont des langues « qui plaisent à l’oreille du consommateur ». De plus d’un point de vue culture générale, j’ai appris beaucoup de choses autour de ces enseignements. Une chose relativement importante en ce qui concerne mon cas, est que les points que j’ai eus avec l’option grec, m’ont permis d’obtenir mon baccalauréat. »
Alice Lemonnier, bac S en 2014, option grec :
« Je suis en train de terminer mon master 2 Patrimoine Naturel et Biodiversité à Rennes 1 actuellement. J’ai fait ma licence 3 biologie des organismes au Québec à l’université du Québec à Trois-Rivières. Mon master est un master de biologie écologie pour la conservation des espèces et des habitats naturels.
Étant dans des matières scientifiques, les lettres grecques me sont familières, et facilitent la compréhension de formules, de concepts. À titre personnel, j’utilise couramment un langage abrégé avec l’utilisation de lettres grecques. Au niveau de la mythologie, les mots tirés de personnages ou des noms de phénomènes comme le réflexe de Midas ou d’autres choses sont plus facilement assimilables avec l’étude du grec.
Je ne regrette pas mon choix d’avoir suivi l’option grec ancien tout le lycée, et latin tout le collège, pour la culture personnelle, la philosophie, la mythologie, et rien que pour avoir quelque chose en plus sur le CV ou lors d’entretiens. »
Charlène Cauchon, bac S en 2015, option grec :
» Je participe avec plaisir ! Mon parcours est un peu particulier : après le bac j’ai refait une terminale au lycée Sainte-Chantal pour rentrer ensuite en classe préparatoire puisque je n’avais pas été prise du premier coup (année scolaire 2015-2016). En septembre 2016, je suis rentrée en CPGE BCPST (Biologie, Chimie, Physique, Sciences de la Terre) au lycée Malherbe à Caen. J’ai redoublé ma deuxième année de prépa, donc cela fait 3 ans que j’y suis.
J’ai depuis ma première année 2h de cours par semaine de français-philosophie, qui porte sur un thème d’étude différent chaque année : nous devons lire 3 livres et nous dissertons dessus lors du concours. Le grec m’a été particulièrement utile l’année dernière (lecture de l’Iliade d’Homère) et cette année puisqu’on travaille sur Le Banquet de Platon. J’ai donc déjà une certaine culture que d’autres n’ont pas sur la Grèce antique, ce qui me permet de mieux comprendre ces œuvres et globalement le cours lorsque ma professeur fait des références sur les mythes de la Grèce antique. En français mais également en biologie, cela m’aide à comprendre plus facilement certains mots et à les retenir puisque je les ai déjà vus et que je connais le terme grec dont ils sont “issus”. Comme j’ai fait le choix de faire du grec au lycée, cela m’a en plus permis de travailler une matière en plus des autres, ce qui dans le cadre de la prépa m’a aidée à ne pas crouler sous la charge de travail puisque j’étais déjà habituée à travailler un peu plus que d’autres de mes camarades. Enfin, j’ajouterais que faire du grec au lycée m’a tout simplement permis d’avoir une culture sur la Grèce antique comme je le disais précédemment, ce qui, je pense, est toujours un petit plus personnel d’un point de vue culturel. C’est pourquoi je suis très contente d’avoir suivi cette option pendant 3 ans au lycée. »
Alexia Dos Santos, bac S en 2015, option grec :
Baptiste Ecolivet, bac ES en 2015, option grec :
« A l’inscription au lycée, on m’a dit qu’il fallait choisir deux enseignements d’exploration : j’ai donc choisi le grec car cette culture m’intéressait beaucoup à l’époque et encore aujourd’hui.
De ce que je me souviens, les cours consistaient à part égale à de la traduction, de la grammaire-conjugaison, et de l’étude de la culture. J’imagine que les cours de latin étaient construits de la même façon.
En plus, cette option nous a permis beaucoup d’apports, comme aller au théâtre, voir des films ou encore un voyage scolaire.
De ce que cela m’a apporté, c’est d’abord un sens encore plus aiguisé des mots, des origines et de la composition du français ; c’est quelque chose qui a toujours été très important et précieux pour moi. Chaque mot a un sens différent d’un autre. Pour les latinistes, j’imagine que c’est encore plus évident pour le français et les différentes autres langues latines qui découlent du latin.
Et surtout, ça m’a apporté une ouverture d’esprit. Le baccalauréat général permet vraiment d’acquérir une grande ouverture de jugement et de réflexion. Mais le grec encore plus, il permet d’étudier un monde disparu, assez éloigné de nous à l’échelle humaine et qui a été à l’origine de beaucoup de choses qui composent notre monde aujourd’hui et qui ont été longtemps oubliées après eux, comme la démocratie, le philosophie, la biologie, l’histoire, ainsi que la plupart des sciences actuelles.
C’est un monde qui avait beaucoup moins accès à l’imaginaire que nous qui avons des films à effets spéciaux, et la possibilité de voyager tellement facilement ; et pourtant les Grecs ont produit des auteurs dignes des créateurs de science-fiction. Ils ont imaginé des peuples, des pratiques, et des tas de choses impossibles et impensables…
Quoi qu’il en soit, mon obtention du bac était assez incertaine et j’ai obtenu un 17 coefficient 3 au bac en grec, ce qui m’a permis de décrocher mon diplôme… C’est une note facile à avoir ; on peut y aller pour la note ou le voyage, mais j’invite vraiment ceux qui s’intéressent un peu à ces deux cultures à choisir cette option. C’est l’unique occasion ou opportunité dans une vie d’avoir accès à cette culture avec d’ailleurs une enseignante vraiment passionnée et du coup passionnante.
Pour ma part, je suis actuellement apprenti paysagiste et je dois connaître à la sortie de ma formation au moins 400 végétaux en dénomination latine avec espèce, genre, et variété… J’imagine que dans les autres sciences que la botanique comme l’anatomie la médecine ou autres, beaucoup de mots comme les maladies sont d’origine latine ou grecque ou s’expliquent et se composent forcément aussi de latin. ou du grec
L’importance du latin aujourd’hui est toujours aussi évidente. Le grec aussi, évidemment : on n’apprend pas à compter ou à dire les jours de la semaine, comme pour une langue vivante ; ces gens-là ne travaillaient pas du lundi au vendredi et ne faisaient pas la fête le samedi soir ; non, ils ont inventé notre monde. »
Julien Lagalle, bac L en 2015, options grec et latin :
Elena Lognoné, bac S en 2015, option grec :
Malorie Mahaut, bac ES, option grec :
« Bonjour, je trouve cette initiative super ! Cette année je suis en Master1 en ingénierie sociale à l’IAE de caen, tout se passe bien malgré un parcours pas très clair parce qu’après le bac je me suis dirigée vers une prépa éco mais ça ne l’a pas fait donc j’ai validé mon année pour passer directement en L2 éco-gestion mais ça ne m’a pas plu non plus. Donc j’ai intégré l’IAE (Institut d’Administration des Entreprises) l’année dernière en L3 et tout se passe bien depuis !
Les cours de grec m’ont apporté une culture générale non négligeable qui me sert encore aujourd’hui : la connaissance des mythes grecs permet d’avoir un réel bagage culturel !
De plus, durant les cours nous avons l’occasion d’étudier des textes intéressants en profondeur (en les analysant, en les traduisant). Sur le plan du vocabulaire, connaître l’alphabet grec représente un atout. L’étude de la langue permet également de connaître l’orthographe de mots compliqués grâce à la connaissance de l’étymologie. Tous ces points font que les cours de grec vous apporteront autant dans votre parcours étudiant que dans votre vie quotidienne. Enfin, la classe de grec est un endroit où tout le monde a envie d’être par choix, ce qui fait que les cours sont l’occasion d’un réel échange entre le/la professeur/e et les élèves dans une bonne ambiance. »
Lisa Neilz, bac S en 2015, option grec :
Louise Pesnel, bac ES en 2015, option latin :
« Je m’appelle Louise, j’ai 21 ans et je suis actuellement en master 1 de Relations internationales et d’Affaires européennes à l’Institut d’Études Politiques de Lille. Avant de rejoindre ce master en Relations internationales, j’ai fait une année de classe préparatoire littéraire au lycée Millet, avec une spécialité Lettres Modernes et l’option « latin ». Ensuite, j’ai fait une licence Humanités, spécialité Monde Contemporain à l’Université de Rouen Normandie où j’ai étudié aussi le latin. J’avais débuté le latin en 5ème et j’en ai fait pendant 9 années.
J’ai toujours porté un grand intérêt pour la langue française et la littérature, c’est dans cette perspective que j’ai choisi de faire du latin. En effet, c’était pour moi une possibilité de mieux comprendre la langue française, étant donné les liens qui existent entre ces deux langues. Au-delà de l’aspect linguistique, c’est aussi comprendre une partie de l’histoire du continent européen et d’une civilisation qui a marqué l’Europe et dont les habitudes et les logiques se retrouvent parfois dans notre quotidien. Aussi, dans le cadre de mes études en Relations internationales et en Affaires européennes, c’est aussi un apprentissage qui m’a beaucoup apporté car la culture latine est une base influente des cultures européennes.
En effet, le latin a été à un moment donné la langue la plus parlée sur le continent européen, un peu comme l’est l’anglais aujourd’hui à l’échelle planétaire. Enfin, l’apprentissage du latin permet aussi d’acquérir des techniques d’apprentissage d’une langue étrangère qui peuvent s’appliquer aujourd’hui à l’étude d’autres langues étrangères. On peut notamment faire le lien entre le latin et l’allemand avec la spécificité des déclinaisons qui caractérisent ces deux langues. Cet apprentissage des langues étrangères constitue aujourd’hui la base de mon parcours universitaire et probablement professionnel, puisque je souhaite, par la suite, travailler au sein d’organisations internationales qui sont des milieux multilingues. »
Manhattan Pochon, bac ES, option grec :
Camille Brière, bac ES en 2016, option latin :
« Je garde d’excellents souvenirs des cours de latin au lycée en petits effectifs très conviviaux. Je garde aussi en mémoire de très bons moments passés lors du voyage organisé à la capitale. C’est d’ailleurs au cours de ce voyage que j’ai découvert la ville dans laquelle je vis dorénavant sous un angle différent : celui de l’histoire et de l’art à chaque coin de rue et à chaque pavé.
Je dois avouer qu’alors même que j’étais encore lycéenne, je ne réalisais pas tellement le réel atout que le latin pouvait représenter au-delà du baccalauréat. C’est une fois le lycée terminé que j’ai réalisé l’avantage que cela pouvait être.
En effet, j’ai poursuivi mon parcours avec deux ans de classe préparatoire. Les connaissances de civilisation ou des textes étudiés issues des cours de latin m’ont bien souvent servi, que ce soit pour étoffer une argumentation orale, enrichir une dissertation, se démarquer des autres avec des exemples qui ne sont pas extraits du cours du professeur ou même que ce soit pour déclencher une réflexion plus nuancée autour d’un sujet en soulignant les différents sens d’un terme (merci aux petites évaluations de vocabulaire). De plus, le latin a été un réel pilier de ma progression en langues étrangères, à noter que le latin et l’espagnol sont assez proches, cela m’a réellement fait gagner un temps précieux sur l’apprentissage de la conjugaison entre autres.
A l’issue de ces deux ans de prépa, j’ai intégré une grande école de commerce et là encore, je prends conscience que le latin est bien plus qu’un enseignement d’exploration ou une simple option de lycée qui est derrière moi, il me permet d’assimiler plus rapidement le cours de droit et me permet encore d’étoffer mes réponses en philosophie.
Mais les atouts ne sont pas uniquement scolaires. Je constate également des atouts plus personnels tels que la culture générale ou le fait que l’on soit plus tenté de se cultiver par soi-même sans nécessairement attendre que la culture vienne à nous. Le latin, même plusieurs années après le lycée, permet de comprendre l’histoire ou de replacer dans un contexte particulier lorsqu’on voyage en Italie ou ailleurs. Par ailleurs, c’est un moyen de se démarquer encore aujourd’hui, par exemple : pour certains recruteurs, avoir fait latin est vu comme un gage de sérieux, de persévérance et d’assiduité et ça l’est, j’en suis convaincue. »
Pauline Duval, bac S en 2016, option latin
« Je suis actuellement en 3ème année de médecine.
Je garde de très bons souvenirs des cours de latin, souvent plus conviviaux que les autres cours, plus propices à l’échange, que ce soit entre élèves ou avec le professeur. De plus, ayant choisi la filière scientifique bien qu’aimant beaucoup les lettres, le latin a constitué pour moi une sorte de « pause » au sein de ma filière, que j’ai trouvée beaucoup trop axée sur les sciences dites exactes.
Puis, dans mon parcours post bac, l’atout majeur que constitue le latin est de me faciliter l’apprentissage du vocabulaire médical : mes études demandent d’apprendre énormément de choses et cela est toujours plus facile de retenir certains mots quand on sait d’où ils viennent.
Dans la vie de tous les jours, le latin constitue aussi une part de ma culture générale et permet une meilleure maitrise de la langue française. Pour finir, le latin aide à développer une certaine logique, qui peut être utile après le bac. »
Claire Floch, bac S en 2016, option latin :
Je suis dans une filière scientifique dans laquelle je fais beaucoup de maths et de physique. Le latin ne m’est donc pas utile pour les matières scientifiques qui me sont enseignées.
Néanmoins, cela m’a été utile pour la philosophie et le français au lycée car cela me permettait d’avoir des connaissances supplémentaires. Sinon le latin permet d’apprendre à apprendre par cœur et à être rigoureux.
Cameron Gramond, bac ES en 2016, option latin :
« Durant mes années au collège et en seconde/première, j’ai fait du latin. Encore maintenant, cela me sert dans mon parcours : je suis en 3ème Année de licence de sociologie parcours anthropologie ; l’étymologie des mots est récurrente et donc le latin m’aide beaucoup, mais aussi pour les cours de civilisation. Cette langue ancienne m’a été utile dans plusieurs cours. Dans les études littéraires ou dans les sciences humaines, le latin aide beaucoup pour comprendre le sens des mots actuels en français et pouvoir mieux analyser le sens.
La civilisation romaine est la base de toutes nos civilisations ; donc on est souvent amené à en parler et c’est plus simple pour moi d’en parler grâce aux cours de civilisation. Même sans cela, le latin est utile pour notre propre réflexion et notre culture générale. »
Mathis Desmortreux, bac S en 2017, option grec :
Sarah Eudes, bac ES en 2017, option grec :
Emma Frigout, bac L en 2017, option grec :
« Je suis aujourd’hui en 2ème année de LLCER ( Langue, littérature et civilisations étrangères et régionales) anglais. J’ai fait du grec pendant quatre ans puisque j’ai commencé au collège. Au lycée, les cours de grec sont principalement orientés autour de la traduction (version). La traduction en elle-même est un exercice intéressant, mais les points culturels que les textes traduits permettaient d’aborder sont également très enrichissants, notamment en L puisqu’il était possible de faire le lien entre ce cours et celui de philosophie. Concernant le vocabulaire, c’est certain que l’apport est considérable ! Même encore aujourd’hui en L2, je réalise que je connais le sens de certains mots (chronophage par exemple) grâce au grec. Certaines connaissances en étymologie m’ont été très utiles en L1 lors de cours de français et en L2 pendant des cours de lexicologie. Les langues anciennes sont également utiles pour l’obtention du bac en lui-même puisque les points obtenus peuvent être très valorisants. L’épreuve se prépare tout au long de l’année et donc elle ne représente pas une charge de travail très considérable et insurmontable. »
Morgane Hamel, bac S en 2017, option latin :
Lou-Anne Henrion, bac ES en 2017 option grec :
Eloïse Hulin, bac ES en 2017 et option grec :
Flavien Legendre, bac ES en 2017, option latin :
Héloïse Belhomme, bac S en 2018, option latin :
Emma Boulard-Jouault, bac S en 2018, option latin :
Le latin m’a apporté une très bonne culture générale. Je ne regrette pas du tout de l’avoir fait car j’ai pu avoir des points en plus au bac et avoir ma mention très bien. De plus, j’ai toujours été dans la classe des latinistes et ça a toujours été une classe très studieuse avec de supers résultats et une très bonne ambiance! Si c’était à refaire, je le referai ! »
Juliette Cantais, bac S en 2018, option latin :
Paul Martin, bac S en 2018, option latin :
Je conseille aux collégiens de faire du latin pour développer leur culture générale ainsi que pour se préparer aux études supérieures, en sachant que cette option peut vous rapporter en plus des points supplémentaires au bac. «
Sveltanna Patin, bac S en 2018, option latin :
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